Description
Aujourd’hui, si tu entreprends une dame dans la rue, même avec la plus grande des galanteries que tu penses, ça peut finir en bal brésilien et donc au poste.
Heureusement ou malheureusement (seules les dames peuvent dire), ce n’était pas toujours comme ça auparavant…
Depuis qu’elle était jeune demoiselle, la belle et pulpeuse Désirette a toujours reçu de belles paroles de la multitude de prétendants qui tournaient autour d’elle pire que de gros vonvons jaunes autour de sa grosse fleur d’acacia. Mais Désirette n’a jamais eu besoin d’aller à la police pour personne. Elle a toujours été maîtresse de son corps.
C’est pas des paroles de doucines qu’elle a pas entendu voler autour d’elle quand elle marchait sur les trottoirs, montait dans les cars ou bien en revenant de la boutique. Des fois même,
en sortant de la messe…